J’ai ramené ce plant de tomates de mon passage ce printemps chez Eric PEDEBAS le « tomatologue ».
Évidement il a un nom que j’ai oublié.
Ce que je ne peux oublier, c’est que ce plant foisonne et occupe deux mètres cube de l’air de ma serre pour un rendement bien inférieur à celui d’une esturgeonne moyenne.
Par contre, à déguster assis sur ma botte de foin (un reste de paillage inutilisé) ou en appoint de crudités, ces tomatilles de la grosseur d’une groseille explosent en bouche d’agrumes et de zestes, une sensation inoubliable !!