Cette charcuterie typique des campagnes savoyardes permettait au paysan d’augmenter ses réserves pour tenir l’hiver en utilisant les bas morceaux du cochon (gras et couenne) ainsi que les légumes à sa disposition.Cela faisait à la fois sens et volume.
Chaque village avait (et a encore) sa recette et ses habitudes de consommation.
La version vernaculaire que je pratique se compose principalement de feuilles de blette, d’un peu de poireau et de chou « enrichis » de gras et de couennes cuites, le tout agrémenté d’épices.
QUELQUES RECETTES :
http://culturesbio.org/?s=pormonnier