Ce petit gâteau en forme de coquille bombée, indéniablement associé à Marcel Proust, a emprunté le prénom de sa créatrice. La petite servante qui en confectionna à l'improviste pour le duc de Lorraine, Stanislas Leszczynski lorsqu'il résidait à Commercy, s'appelait en effet Madeleine. Je remonte ce grand classique très simple mais qui demande du bon matériel et beaucoup de repos. Autrefois, j'utilisais les moules en fer qu'il fallait beurrer et fariner à chaque cuisson, et ça collait toujours un peu. Les moules en silicone conviennent bien sans aucune préparation mais saisissent moins bien la pâte que les moules antiadhésifs à beurrer et fariner uniquement pour la première fournée.
Faire cuire 8 à 10 min, puis démouler et refroidir sur une grille. Les madeleines se conservent très bien dans un bocal à stériliser.
C’est le choc thermique de la pâte froide avec la chaleur du four qui va permettre de former le joli nez de la madeleine. Si la pâte est tiède, les madeleines seront plates.Avec cette recette, je participe au défi "Nos régions ont du goût" consacré à la Lorraine, organisé par " l'alchimie des mets".
Faire cuire 8 à 10 min, puis démouler et refroidir sur une grille. Les madeleines se conservent très bien dans un bocal à stériliser.
C’est le choc thermique de la pâte froide avec la chaleur du four qui va permettre de former le joli nez de la madeleine. Si la pâte est tiède, les madeleines seront plates.Avec cette recette, je participe au défi "Nos régions ont du goût" consacré à la Lorraine, organisé par " l'alchimie des mets".