Pour illustrer cet agréable moment, j'ai pensé qu'un "parisien" ferait l'affaire. Avec un nom pareil, cette douceur mériterait de figurer couramment dans les pâtisseries de la capitale. Que nenni, il s'agit encore et toujours d'un dessert oublié.
Génoise
6 oeufs
200 g de farine
200 g de sucreCrème d'amandes
100 g de beurre
130 g de sucre
130 g de poudre d'amande
2 cc de fécule
2 oeufs
2 bouchons de Rhum100 g de fruits confitsSirop 75 g de sucre15 cl d'eauMeringue italienne2 blancs
100 g de sucre
50 g d'eau
La veille, cuire les génoises à 180° dans deux cercles de 22 cm beurrés et farinés. Laisser rassir à température ambiante, sans les protéger, elles se couperont plus facilement. Le lendemain, préparer la crème d'amandes, sans oublier d'y incorporer les fruits confits. Porter le sirop à ébullition et stopper la cuisson.
Couper les génoises en 5 ou 6 abaisses. Avec un pinceau, imbiber la première abaisse de sirop, puis avec une spatule coudée, recouvrir d'une couche de crème. Poser le deuxième disque par-dessus, répéter les mêmes opérations jusqu'à la dernière.
Préparer la meringue italienne, puis en recouvrir toute la surface du gâteau. Passer sous le grill sans quitter des yeux pour dorer la meringue très légèrement.
Réserver le gâteau au frais plusieurs heures afin que les arômes se développent. La crème va être absorbée par la génoise ...
Dans le quartier de la "Nouvelle Athènes", à deux pas du musée de la vie romantique, est sise la bibliothèque Dosne-Thiers.
Adolphe Thiers, élu président de la république française en 1871, acquiert l'hôtel en épousant Elise Dosne.
Détruit pendant la Commune, le peintre Courbet sauve les biens et l’hôtel est reconstruit puis légué à l'institut de France avec sa bibliothèque consacrée à l'histoire politique, militaire et sociale de la France de 1789 à 1914.